NOUVEAU PARTENARIAT POUR LGTEL

—————————————–

——————————————

LGTEL vient récemment de signer deux nouveaux contrats ADSL au sein de la commune de Saint Jean de Duras et équipera prochainement la mairie et l’école de sa nouvelle offre illimitée et économique.

Plus de renseignements au 05 35 54 01 25

 

INTERFACE DE MESSAGERIE LGTEL

 

Afin de simplifier l’accès à la messagerie LGTEL, nous avons modifié l’accès à cette dernière depuis notre site internet.

Désormais, lorsque vous cliquez sur l’onglet « Ma messagerie » seule l’interface Iloha mail, compatible avec tous les navigateurs, permet de vous identifier afin d’accéder à votre boîte de réception.

———————————

Pour plus d’informations, contactez notre service technique au 05 35 54 01 26.

UNE QUESTION TECHNIQUE ?

Retrouvez votre installation Wimax, vos équipements ainsi que les réponses à vos questions sur notre rubrique Foire aux Questions.

Cette rubrique récemment ajoutée sur le site internet d’LGTEL vous permet de solutionner vos problèmes techniques à distance et lorsque le service technique n’est pas joignable (week-end, jours fériés etc.).

Je consulte la Foire aux Questions d’LGTEL

« LES RETRAITES VEULENT RESTER CONNECTES »

 

Les seniors sont bien décidés à apprivoiser Internet.

 

Dans la salle des fêtes de Campagnac, commune du Lédat, mercredi, ils étaient une vingtaine à s’être déplacés. Cheveux gris ou blancs pour la plupart. Face à eux, Bernard Cicutta, gérant de la société LGTEL, fournisseur d’accès Internet basé à l’Agropole d’Estillac, près d’Agen. Il vante à l’auditoire les vertus du Wimax. Un dispositif qui permet d’avoir le haut débit Internet, même à la campagne, grâce à un système d’émetteurs radio. Le Conseil général de Lot-et-Garonne en a installés 120 en 2008.

Dans l’assemblée, tous ont en commun une connexion ADSL insatisfaisante, avec un débit très faible. « J’habite dans un lotissement de 11 maisons, on est en bout de ligne. Le débit n’a aucune puissance. Ça coupe, c’est lent », se plaint Christiane, 68 ans. « On paye l’ADSL qui n’existe pas. Je n’arrive pas à ouvrir des pages, c’est très long », renchérit une dame. Jean-Louis, informaticien, ajoute : « Si je veux télécharger un film légalement sur ma télé, je vais mettre six ou sept jours. Pareil pour regarder un programme en replay. »

Resserrer les liens familiaux

Grâce à son système de diffusion hertzien sans fil, le Wimax permet d’apporter du haut débit partout, y compris dans les zones dites « blanches », non desservies par l’ADSL. Ces expériences mettent en tout cas l’accent sur la fracture numérique qui touche les populations rurales. Et ce malgré un désir de plus en plus fort des seniors d’être « connectés ».

Commander ses courses au drive des grandes surfaces, souscrire une banque en ligne, obtenir un certificat de non-gage…

Les usages sont variés. Pour beaucoup, les enfants et petits-enfants jouent un rôle. Les anciens voient là un moyen de resserrer les liens avec leur famille. « Mes petits-enfants râlent quand ils viennent en vacances parce qu’il n’y a pas Internet, témoigne Christiane. Alors je vais m’y mettre. Je n’ai jamais touché une souris de ma vie. Mais j’ai une amie qui s’en sert pour trouver des recettes de cuisine, et je pourrai envoyer des mails à mes petits-enfants, aller sur  » Leboncoin.fr  » pour vendre des meubles… Et m’ennuyer un peu moins l’hiver, quand il fait nuit à 17h30. »

« Mes enfants en parlent »

Gabriel, 68 ans, n’a jamais eu Internet. « Je n’en avais pas tellement l’utilité. J’ai beaucoup d’activités. Mais les enfants m’en parlent, donc je vais m’y mettre », déclare-t-il tout en remplissant le formulaire de LGTEL. Il coche une offre à 49 euros par mois, qui permet aussi d’appeler sans limite sur les fixes et les mobiles. « Actuellement, je paye 50 euros de téléphone, mais il faut faire attention, parce qu’il n’y a rien d’illimité. De plus en plus, on ne peut joindre les gens que sur leur portable, ça revient cher. »

À lui les longues conversations avec sa famille de Vendée, et son neveu exilé en Malaisie. Internet, un remède contre la solitude des personnes âgées ? Comme dit Gabriel : « On ne peut pas dire qu’Internet c’est l’avenir ; ça fait déjà un moment que c’est l’avenir ! »

Article Sud Ouest par Maeva Louis

 

 

LGTEL ACCÉLÈRE !

 

LGTEL, premier fournisseur Wimax en Lot-et-Garonne, mène des prospections actives sur le terrain, canton par canton au sein de chaque commune. Lors de ces dernières, de la documentation est déposée auprès de chaque Mairie, et un point sur le dispositif Wimax, ainsi que sur les besoins des habitants, est fait avec Le Maire.

Lors des prospections au cœur du Pays Agenais et de celui d’Albret, LGTEL a fait parler de la technologie Wimax, ainsi que de ses nouvelles offres illimitées par le biais de plusieurs articles parus dans les journaux municipaux de quelques communes à l’image de Clermont-Dessous, Laplume ou encore Saint Hilaire de Lusignan.

‘INFORMATION CONCURRENCE’

 

 

L’association de défense des consommateurs saisit le gendarme de la concurrence contre l’offre « quadruple play » qui a conquis un million de Français en un peu plus d’un an :

Pour Orange, l’information tombe mal et ce n’est probablement pas un hasard. Alors que Free Mobile doit lancer ses services au cours des prochains jours, l’UFC-Que Choisir vient d’annoncer son intention de saisir l’Autorité de la concurrence au sujet d’Open, l’offre « quadruple play » d’Orange. Or, cette offre, qui lie Internet haut débit, télévision, téléphone fixe et abonnement au mobile avec une ristourne, est la véritable arme anti-Free de l’opérateur historique. En un peu plus d’un an, Open a séduit un million de clients. L’association de défense des consommateurs estime que « les conditions de l’offre Open accroissent encore davantage la sclérose concurrentielle du marché des télécommunications. Pour elle, « les consommateurs se trouvent verrouillés dans la durée et (…) leurs coûts de sortie augmentent très fortement ». En effet, toujours selon l’UFC-Que Choisir, Orange « impose la reconduction de l’engagement sur la partie fixe lorsque le consommateur fait évoluer son contrat mobile, empêche les consommateurs de découpler les offres « triple play » et mobile au moment de la résiliation d’une d’entre elles et refuse au consommateur la possibilité d’obtenir la portabilité de ses numéros fixes et mobiles lorsqu’il résilie l’ensemble des services Orange Open ». Orange ne s’en cache pas, l’objectif de cette offre est de garder les clients Internet et mobile, afin de lutter contre l’arrivée de Free.

Prévenir les risques de verrouillage :

Déjà, à l’été 2010, l’Autorité de régulation des télécoms (Arcep) notait que « le développement d’offres couplant des services de téléphonie mobile et d’accès à Internet haut débit fixe, qui s’est renforcé depuis quelques mois, s’il peut être source d’efficacité et améliorer les services rendus aux consommateurs, présente également des risques majeurs pour la concurrence, en particulier pour le marché de l’accès à Internet haut débit fixe ». Quelques jours avant, l’Autorité de la concurrence, tout en autorisant Orange à se lancer dans le « quadruple play », avait estimé que « la mise sur le marché d’offres de convergence par Orange présentait des risques pour la concurrence ». Elle préconisait « l’adoption de mesures pour améliorer la fluidité des marchés et prévenir les risques de verrouillage ».

Finalement, il y a un an, l’Arcep a engagé des discussions avec Orange, en lui demandant qu’en cas de résiliation du service mobile d’Open, « la durée d’engagement initialement souscrite dans le cadre du service Internet ne puisse être prolongée ». France Télécom -Orange n’a pas suivi ces propositions. Alors que le régulateur des télécoms s’apprêtait à ouvrir une procédure de sanctions à l’encontre de l’opérateur historique, c’est désormais le gendarme de la concurrence, poussé par l’UFC, qui pourrait s’en charger.

G. DE C.

 

HAUT DÉBIT : EN ATTENDANT MIEUX

 

En Poitou-Charentes et en Aquitaine, il doit bien rester quelques endroits où il est toujours impossible de se connecter à Internet, mais ces nouvelles « îles désertes » ne peuvent être que des exceptions. Internet est en fait partout. Ou presque. On ne peut pas en dire autant en ce qui concerne l’Internet haut-débit à 2 Mbits. Les cartes des deux régions font encore apparaître de vastes zones blanches où les internautes sont toujours privés de ce fameux haut débit qui permet d’utiliser Internet de façon très confortable. Pour essayer de boucher les trous laissés par les opérateurs privés, les collectivités locales ont pourtant investi. Soit pour financer le développement du réseau Wimax (mode de transmission et d’accès à Internet haut débit, pourtant sur une zone géographique étendue) comme en Poitou-Charentes, dans les Pyrénées Atlantiques ou le Lot-et-Garonne. Soit pour assurer la mise en place d’autres solutions techniques : NRA zone d’ombre (qui permet de rendre éligible des lignes téléphoniques à l’ADSL) ou des systèmes satellitaires. Avec ces technologies, il sera probablement difficile d’aller plus loin. « Aujourd’hui le haut débit atteint ses limites techniques et les solutions disponibles ne répondront pas à la demande des usagers à plus de dix ans » soulignent les auteurs du Diagnostic 2011 d’Aquitaine Europe Communication. « Il devient nécessaire de basculer du haut débit vers le très haut débit » en développant des réseaux de fibres optiques. Dans le cadre de l’appel à manifestation d’intentions d’investissements du programme national très haut débit, les opérateurs privés ont déjà annoncé leur volonté de couvrir les zones les plus denses dans toutes les régions. En Aquitaine, cela représente 5% du territoire et 40% de la population à échéance … 2021. Pour ne pas laisser se développer une nouvelle fracture numérique, les collectivités devront une fois de plus investir des dizaines de millions d’euros. Mais sur des programmes qui s’étaleront jusqu’à 2030, voir au-delà. Le très haut débit pour tous … ce n’est pas pour demain. Et le haut débit ?

Article Sud Ouest,